... et plus anciennes.
Etre accro à la vie est la seule addiction non pathologique. Quoi que : on peut se demander si on ne vit pas dans un monde de malades mentaux : jaloux, mythomanes, mégalomanes, j'en passe et pas des meilleurs, les auteurs des péchés capiteux : orgueil, avarice, luxure, envie, paresse ...
A quand le retour aux vertus cardinales : justice, prudence, tempérance et force morale ?
*************
Les poètes ne sont pas des artistes comme les autres, ce ne sont que des fous qui écrivent des rêves.
vendredi 29 mars 2013
mercredi 27 mars 2013
La rue est un spectacle
Ayant une grande partie de la journée à perdre, j'ai passé celle d'hier à déambuler dans les rues de la capitale (la nôtre bien-sur, gens du Sud).
Pour celui qui marche en prenant le temps de regarder, le spectacle est permanent. Tout ce que vous allez lire est véridique et s'est déroulé en une seule journée.
Le premier personnage insolite, je l'ai entendu avant de le voir. A l'entrée d'une rue un camion d'électriciens bouchait le passage, un homme dans une nacelle isolait des câbles. Les vociférations m'ont attiré dans la petite rue et j'ai rencontré un homme tatoué couvert d'une serviette enroulée autour de la taille et qui invitait l'agent à rétablir le courant car il avait été coupé pendant qu'il faisait sa toilette (il était quand même près de neuf heures) et prétendait ne pas avoir été avisé. Je n'ai pas suivi la fin de l'histoire car aucune bagarre n'était en cours.
Près de la cathédrale, dans une descente pavée, un bruit étrange m'a fait tourner la tête, il s'agissait d'un jeune homme descendant à roller à une vitesse et avec une aisance telle que j'ai attendu vainement la chute, il a rejoint le bitume et la partie plate sans encombre. Un peu plus tard dans une autre rue du centre ville, interdit à la circulation automobile, c'est une femme d'une quarantaine d'années, juchée sur une trottinette qui a attiré ma curiosité. Autant les enfants se rendant à l'école m'ont semblé naturels, autant cette rencontre m'a paru décalée et j'ai pensé qu'il y avait peu de chances qu'on me trouve sur ce genre d'engin.
Les quêteurs en tous genres sont légion, cela va de la femme assise au même emplacement que je rencontre depuis plus de deux mois (à croire qu'elle y gagne bien sa vie), aux poivrots qui engueulent les passants qui ne sont pas généreux, en passant par jeunes jouant aux infirmes et voulant faire signer un papier. A ce sujet, il a été remarqué qu'un de ces muets, était devenu ... chanteur de rue (Info Midi-Libre la semaine dernière).
Les promeneurs de chiens sont également un sujet de distraction. Cela va du mini Yorkshire que sa vieille maîtresse ramasse péniblement en expliquant à sa voisine qu'il ne peut plus marcher (et elle à peine à se baisser), au petit chien au bout d'une longue laisse qui a fait éclater de rire une classe entière (la relève d'ironiste est assurée) et se poser des questions à son propriétaire qui n'ayant pas entendu le commentaire, se demandait s'il on parlait de lui, sans oublier les chiens dits dangereux, non tenus en laisse et non muselés, qui se baignent impunément dans les bassins devant le conseil général, alors que les agents municipaux à vélo semblent s'entraîner sur les bords du fleuve pour le prochain tour de France (à fond, le nez dans le guidon, si je ne l'ai pas vu c'est qu'il n'y était pas, si j'allais si vite c'est qu'on avait besoin de moi plus loin).
Les groupes de touristes étrangers se comportent comme des touristes et s'auto-photographient bruyamment devant les monuments, statues, jardins pendant qu'un guide-interprète tente laborieusement de se faire entendre. J'ai rencontré deux fois ce groupe de Brésiliens déambulant dans une joyeuse pagaille et en trois heures, ils n'avaient rien perdu de leur entrain.
Je n'ai pas remarqué beaucoup de tenue excentrique cette fois-ci. Pas de chapeau orange assorti au collant à rayure portés sous un manteau bariolé mais dans cette ville où une majorité de personnes s'habillent en sombre (Hérault de l'amer, pour paraphraser Noir Désir), j'ai suivi une fée vêtue d'un ample cape rouge bordeaux qui semblait conduire une enfant vers l'école. Quand elle s'est retournée j'ai pu admirer sa coiffure à l'ancienne avec bijou de front sous sa tresse, sa mini-jupe noire à pans irréguliers portée sur un collant et des bottes. Peut-être une animatrice de spectacle scolaire en tenue de travail ou alors un style très particulier.
Je vous ai déjà parlé des musiciens, jongleurs, acrobates qui se retrouvent si souvent sur la haute place qu'ils font partie du décor, aussi je n'ajouterai rien
(et mine de rien j'ai écrit deux lignes pour vous le dire).
"Ma ville est le plus beau park, sa vie pleine d'attraction, ta ville sera ce park, si telle est ton ambition" chantait Fabulous Trobadors. Alors quand vous sortez, faites comme moi : ouvrez les yeux, prenez le temps de regarder, sourire c'est vivre !
Pour celui qui marche en prenant le temps de regarder, le spectacle est permanent. Tout ce que vous allez lire est véridique et s'est déroulé en une seule journée.
Le premier personnage insolite, je l'ai entendu avant de le voir. A l'entrée d'une rue un camion d'électriciens bouchait le passage, un homme dans une nacelle isolait des câbles. Les vociférations m'ont attiré dans la petite rue et j'ai rencontré un homme tatoué couvert d'une serviette enroulée autour de la taille et qui invitait l'agent à rétablir le courant car il avait été coupé pendant qu'il faisait sa toilette (il était quand même près de neuf heures) et prétendait ne pas avoir été avisé. Je n'ai pas suivi la fin de l'histoire car aucune bagarre n'était en cours.
Près de la cathédrale, dans une descente pavée, un bruit étrange m'a fait tourner la tête, il s'agissait d'un jeune homme descendant à roller à une vitesse et avec une aisance telle que j'ai attendu vainement la chute, il a rejoint le bitume et la partie plate sans encombre. Un peu plus tard dans une autre rue du centre ville, interdit à la circulation automobile, c'est une femme d'une quarantaine d'années, juchée sur une trottinette qui a attiré ma curiosité. Autant les enfants se rendant à l'école m'ont semblé naturels, autant cette rencontre m'a paru décalée et j'ai pensé qu'il y avait peu de chances qu'on me trouve sur ce genre d'engin.
Les quêteurs en tous genres sont légion, cela va de la femme assise au même emplacement que je rencontre depuis plus de deux mois (à croire qu'elle y gagne bien sa vie), aux poivrots qui engueulent les passants qui ne sont pas généreux, en passant par jeunes jouant aux infirmes et voulant faire signer un papier. A ce sujet, il a été remarqué qu'un de ces muets, était devenu ... chanteur de rue (Info Midi-Libre la semaine dernière).
Les promeneurs de chiens sont également un sujet de distraction. Cela va du mini Yorkshire que sa vieille maîtresse ramasse péniblement en expliquant à sa voisine qu'il ne peut plus marcher (et elle à peine à se baisser), au petit chien au bout d'une longue laisse qui a fait éclater de rire une classe entière (la relève d'ironiste est assurée) et se poser des questions à son propriétaire qui n'ayant pas entendu le commentaire, se demandait s'il on parlait de lui, sans oublier les chiens dits dangereux, non tenus en laisse et non muselés, qui se baignent impunément dans les bassins devant le conseil général, alors que les agents municipaux à vélo semblent s'entraîner sur les bords du fleuve pour le prochain tour de France (à fond, le nez dans le guidon, si je ne l'ai pas vu c'est qu'il n'y était pas, si j'allais si vite c'est qu'on avait besoin de moi plus loin).
Les groupes de touristes étrangers se comportent comme des touristes et s'auto-photographient bruyamment devant les monuments, statues, jardins pendant qu'un guide-interprète tente laborieusement de se faire entendre. J'ai rencontré deux fois ce groupe de Brésiliens déambulant dans une joyeuse pagaille et en trois heures, ils n'avaient rien perdu de leur entrain.
Je n'ai pas remarqué beaucoup de tenue excentrique cette fois-ci. Pas de chapeau orange assorti au collant à rayure portés sous un manteau bariolé mais dans cette ville où une majorité de personnes s'habillent en sombre (Hérault de l'amer, pour paraphraser Noir Désir), j'ai suivi une fée vêtue d'un ample cape rouge bordeaux qui semblait conduire une enfant vers l'école. Quand elle s'est retournée j'ai pu admirer sa coiffure à l'ancienne avec bijou de front sous sa tresse, sa mini-jupe noire à pans irréguliers portée sur un collant et des bottes. Peut-être une animatrice de spectacle scolaire en tenue de travail ou alors un style très particulier.
Je vous ai déjà parlé des musiciens, jongleurs, acrobates qui se retrouvent si souvent sur la haute place qu'ils font partie du décor, aussi je n'ajouterai rien
(et mine de rien j'ai écrit deux lignes pour vous le dire).
"Ma ville est le plus beau park, sa vie pleine d'attraction, ta ville sera ce park, si telle est ton ambition" chantait Fabulous Trobadors. Alors quand vous sortez, faites comme moi : ouvrez les yeux, prenez le temps de regarder, sourire c'est vivre !
lundi 25 mars 2013
Le naufrage
Un an est deux tempêtes plus tard, il est toujours là mais son état ne s'améliore pas, une cure serait nécessaire.
samedi 23 mars 2013
vendredi 22 mars 2013
Le chêne et l'amandier
Ce n'est pas une nouvelle fable mais seulement une "rencontre" et un contraste entre l'amandier en fleurs et le chêne vert (en feuilles) qui m'ont inspiré.
Noir et blanc ou couleur, faites votre choix.
Noir et blanc ou couleur, faites votre choix.
dimanche 17 mars 2013
Nouvelles
"Ils nous prennent pour des truffes mais on ne se laissera pas bouffer !!!"
Il y a quelques temps que ça me démange mais je n'avais pas encore trouvé un instant pour l'écrire, l'actualité des dernières semaines ne me fait plus rire, alors je vais tenter de vous la commenter à ma façon.
Notre ancien président de la République a affirmé lors de son départ de l'Elysée : "La politique, c'est fini pour moi, je passe à autre chose".
Dernièrement il a dit se sentir "obligé" de revenir. Qu'il ne se force pas, la situation n'est pas pire qu'avant son départ mais il faut reconnaître qu'elle n'est guère meilleure.
Sécurité routière : de nouveaux radars embarqués dans des véhicules banalisés, des caméras camouflées derrières les plaques d'immatriculation, les flashs infrarouge invisibles : il parait qu'on va lutter contre les grands excès de vitesse.
Si on analyse la démonstration présentée à la télé on remarque : le véhicule banalisé suit un véhicule et relève sa vitesse. Si ce véhicule roule à la vitesse maximale autorisée, c'est le véhicule banalisé et donc sans avertisseurs spéciaux (sirène et gyrophare) qui va commettre un excès de vitesse pour chercher une autre cible. Bel exemple montré par le personnel chargé de réprimer spécialement ce type d'infractions ! Et on prétend que c'est pour notre sécurité et pas pour taxer un peu plus les automobilistes.
On parle de réprimer les grands excès de vitesse (dépassement supérieur à 50 km/h selon le code de la route) mais l'exemple montré à la télé ne présente que des dépassements de 10 voir 15 km/h. Est-ce qu'on nous mentirait ?
De toutes façons le contrôle se faisant par l'arrière, le conducteur échappera au retrait de points en prétendant ne pas connaitre l'identité de celui qui conduisait et en payant l'amende. Moralité : cette mesure n'est pas dissuasive pour celui qui peut payer et est donc contraire à l'annonce.
Les journalistes indépendants et non censurés de nos chaînes de télé (ils n'en ont pas besoin, ils s'auto-censurent) ont TOUS relayés l'information relative aux allergies dues aux pollens et principalement celui des cyprès et ont cité une circonstance aggravante qui serait selon leurs sources fiables (celles du ministère de la santé, de l'écologie et donc de l'intoxication) les particules émises par les véhicules diesel. La solution étant de taxer plus fortement ce carburant utilisé par soixante pour cent des automobilistes, nous n'aurons bientôt plus rien à craindre des allergies, notre pouvoir d'achat ne nous permettant plus de nous déplacer jusqu'à la plus proche pharmacie pour acheter des pseudo-médicaments non remboursés (puisqu'ils ne sont pas efficaces).
Personne ne nous parle des fumées émises par les locomotives diesel, par les véhicules poids-lourds, par les bateaux qui dégagent un épais nuage noir, et les avions qui promènent nos élus, non, il n'y a que les véhicules des particuliers, de plus de dix ans, qui polluent, il faut vite les mettre à la casse pour sauver nos entreprises et éviter les délocalisations (pour Aulnay, Stein et d'autres c'est déjà trop tard)
Cette info a vite été remplacée par une page spéciale météo : il est tombé cinq centimètres de neige sur le nord de la France (35 départements en alerte) et la MOITIE de la France a été bloquée (dixit la 2). Au delà de cette énorme erreur mathématique, on a cherché à qui la faute : c'est pas Météo France, ils l'ont prédit, c'est pas la SNCF ils ont invité les usagers à ne pas partir (sauf qu'ils l'ont fait à 08H30 et qu'ils étaient bloqués depuis plus de deux heures), c'est pas la faute des automobilistes : il étaient obligés de rentrer de vacances, c'est bien sur pas la faute à la DDE les astreintes des conducteurs des chasses-neige coûteraient trop cher, ce n'est pas la faute des transporteurs parisiens : équiper tous les véhicules de pneu-neige ou de chaînes serait un investissement trop important pour l'usage et le montage ferait perdre du temps donc perturberait les horaires. Devant toute cette mauvaise foi, un élu a trouvé LA solution : obliger tous les automobilistes à s'équiper en pneu neige, il parait que cela se fait dans des pays plus froids. A mon avis il veut sauver Michelin à défaut de Continental. Aux dernières nouvelles cette solution n'est pas retenue : trop cher d'équiper tous les véhicules de l'Etat.
A titre informatif, mesdames et messieurs les penseurs et décideurs : les habitants des zones de montagne et les automobilistes qui s'y rendent pour leur travail ou leurs loisirs sont déjà équipés, ils n'ont pas envie de rester bloqués à cause de vos inepties et votre incompétence.
Une autre info qui date du mois d'octobre dernier et qui est passée inaperçue car non publiée au Journal Officiel, est la circulaire interdisant le brûlage des végétaux. Il serait interdit d'incinérer les herbes et autres broussailles sous prétexte que ces déchets pourraient contenir des produits et matières polluantes, genre morceaux de plastique (on dit bien que les bois entourant Paris seraient des mines de latex mais l'info reste à vérifier). Donc si ce texte était respecté il faudrait utiliser des engins (diesel ?) pour couper, broyer et récupérer ces déchets qui seraient éliminés comment par la suite : par incinération? Et quid de la filière verte qui préconise de se chauffer avec des énergies renouvelables comme le bois ?
Pour terminer un petit sourire qui m'a été inspiré par l'élection du nouveau pape: une page spéciale des journaux télévisés a été imposée dès l'émission de fumée blanche de la chapelle Sixtine. Le nom du nouvel élu a été dévoilé après l'ouverture des journaux de vingt heures : normal c'est celui du chef de l'Eglise Cathodique.
Il y a quelques temps que ça me démange mais je n'avais pas encore trouvé un instant pour l'écrire, l'actualité des dernières semaines ne me fait plus rire, alors je vais tenter de vous la commenter à ma façon.
Notre ancien président de la République a affirmé lors de son départ de l'Elysée : "La politique, c'est fini pour moi, je passe à autre chose".
Dernièrement il a dit se sentir "obligé" de revenir. Qu'il ne se force pas, la situation n'est pas pire qu'avant son départ mais il faut reconnaître qu'elle n'est guère meilleure.
Sécurité routière : de nouveaux radars embarqués dans des véhicules banalisés, des caméras camouflées derrières les plaques d'immatriculation, les flashs infrarouge invisibles : il parait qu'on va lutter contre les grands excès de vitesse.
Si on analyse la démonstration présentée à la télé on remarque : le véhicule banalisé suit un véhicule et relève sa vitesse. Si ce véhicule roule à la vitesse maximale autorisée, c'est le véhicule banalisé et donc sans avertisseurs spéciaux (sirène et gyrophare) qui va commettre un excès de vitesse pour chercher une autre cible. Bel exemple montré par le personnel chargé de réprimer spécialement ce type d'infractions ! Et on prétend que c'est pour notre sécurité et pas pour taxer un peu plus les automobilistes.
On parle de réprimer les grands excès de vitesse (dépassement supérieur à 50 km/h selon le code de la route) mais l'exemple montré à la télé ne présente que des dépassements de 10 voir 15 km/h. Est-ce qu'on nous mentirait ?
De toutes façons le contrôle se faisant par l'arrière, le conducteur échappera au retrait de points en prétendant ne pas connaitre l'identité de celui qui conduisait et en payant l'amende. Moralité : cette mesure n'est pas dissuasive pour celui qui peut payer et est donc contraire à l'annonce.
Les journalistes indépendants et non censurés de nos chaînes de télé (ils n'en ont pas besoin, ils s'auto-censurent) ont TOUS relayés l'information relative aux allergies dues aux pollens et principalement celui des cyprès et ont cité une circonstance aggravante qui serait selon leurs sources fiables (celles du ministère de la santé, de l'écologie et donc de l'intoxication) les particules émises par les véhicules diesel. La solution étant de taxer plus fortement ce carburant utilisé par soixante pour cent des automobilistes, nous n'aurons bientôt plus rien à craindre des allergies, notre pouvoir d'achat ne nous permettant plus de nous déplacer jusqu'à la plus proche pharmacie pour acheter des pseudo-médicaments non remboursés (puisqu'ils ne sont pas efficaces).
Personne ne nous parle des fumées émises par les locomotives diesel, par les véhicules poids-lourds, par les bateaux qui dégagent un épais nuage noir, et les avions qui promènent nos élus, non, il n'y a que les véhicules des particuliers, de plus de dix ans, qui polluent, il faut vite les mettre à la casse pour sauver nos entreprises et éviter les délocalisations (pour Aulnay, Stein et d'autres c'est déjà trop tard)
Cette info a vite été remplacée par une page spéciale météo : il est tombé cinq centimètres de neige sur le nord de la France (35 départements en alerte) et la MOITIE de la France a été bloquée (dixit la 2). Au delà de cette énorme erreur mathématique, on a cherché à qui la faute : c'est pas Météo France, ils l'ont prédit, c'est pas la SNCF ils ont invité les usagers à ne pas partir (sauf qu'ils l'ont fait à 08H30 et qu'ils étaient bloqués depuis plus de deux heures), c'est pas la faute des automobilistes : il étaient obligés de rentrer de vacances, c'est bien sur pas la faute à la DDE les astreintes des conducteurs des chasses-neige coûteraient trop cher, ce n'est pas la faute des transporteurs parisiens : équiper tous les véhicules de pneu-neige ou de chaînes serait un investissement trop important pour l'usage et le montage ferait perdre du temps donc perturberait les horaires. Devant toute cette mauvaise foi, un élu a trouvé LA solution : obliger tous les automobilistes à s'équiper en pneu neige, il parait que cela se fait dans des pays plus froids. A mon avis il veut sauver Michelin à défaut de Continental. Aux dernières nouvelles cette solution n'est pas retenue : trop cher d'équiper tous les véhicules de l'Etat.
A titre informatif, mesdames et messieurs les penseurs et décideurs : les habitants des zones de montagne et les automobilistes qui s'y rendent pour leur travail ou leurs loisirs sont déjà équipés, ils n'ont pas envie de rester bloqués à cause de vos inepties et votre incompétence.
Une autre info qui date du mois d'octobre dernier et qui est passée inaperçue car non publiée au Journal Officiel, est la circulaire interdisant le brûlage des végétaux. Il serait interdit d'incinérer les herbes et autres broussailles sous prétexte que ces déchets pourraient contenir des produits et matières polluantes, genre morceaux de plastique (on dit bien que les bois entourant Paris seraient des mines de latex mais l'info reste à vérifier). Donc si ce texte était respecté il faudrait utiliser des engins (diesel ?) pour couper, broyer et récupérer ces déchets qui seraient éliminés comment par la suite : par incinération? Et quid de la filière verte qui préconise de se chauffer avec des énergies renouvelables comme le bois ?
Pour terminer un petit sourire qui m'a été inspiré par l'élection du nouveau pape: une page spéciale des journaux télévisés a été imposée dès l'émission de fumée blanche de la chapelle Sixtine. Le nom du nouvel élu a été dévoilé après l'ouverture des journaux de vingt heures : normal c'est celui du chef de l'Eglise Cathodique.
mardi 5 mars 2013
Quand la mer monte ...
Qui se souvient encore de la chanson de Raoul de Godewaersvelde ?
La météo nous l'avait promise hier, le vent violent nous l'a amenée cette nuit.
Pas de quoi me décourager, j'ai bravé les éléments pour ramener quelques clichés souvenirs.
A Balaruc l'étang s'est pris pour l'océan sans pouvoir l'égaler. Pas de dégâts. Les premiers curistes n'ont pas pu profiter des nouvelles installations mais ce n'était pas la peinture qui n'était pas sèche.
Il n'y a vraiment personne qui se bécote sur les bancs publics.
A Frontignan aussi la mer est montée à l'assaut des digues.
En conséquences, il ne me reste qu'à rester à la maison pour bricoler, les marchands n'attendent que çà à en croire ce que j'ai trouvé la semaine dernière et en une seule fois dans ma boite à lettres.
Avant de vous quitter pour quelques jours, une image prise hier chez un commerçant qui a affiché cette banderole depuis le début des soldes.
Je me demande bien pourquoi il baisse son rideau, je suis sur ce que pourrait être fait en quelques minutes.
Bon, la mer peut bien monter, moi je n'ai même pas honte de ce que j'écris!
La météo nous l'avait promise hier, le vent violent nous l'a amenée cette nuit.
Pas de quoi me décourager, j'ai bravé les éléments pour ramener quelques clichés souvenirs.
A Balaruc l'étang s'est pris pour l'océan sans pouvoir l'égaler. Pas de dégâts. Les premiers curistes n'ont pas pu profiter des nouvelles installations mais ce n'était pas la peinture qui n'était pas sèche.
A Frontignan aussi la mer est montée à l'assaut des digues.
En conséquences, il ne me reste qu'à rester à la maison pour bricoler, les marchands n'attendent que çà à en croire ce que j'ai trouvé la semaine dernière et en une seule fois dans ma boite à lettres.
Avant de vous quitter pour quelques jours, une image prise hier chez un commerçant qui a affiché cette banderole depuis le début des soldes.
Bon, la mer peut bien monter, moi je n'ai même pas honte de ce que j'écris!
dimanche 3 mars 2013
Menu
Un jour, j'ai imaginé ce qu'on
m'aurait servi, si j'avais assisté à une repas offert par n'importe
quelle organisation dite apolitique et si j'avais du le commenter.
Après les discours de bienvenue et
d'usage,
d'entrée nous eûmes droit à une
SOUPE A LA GRIMACE
et le chef ayant l'art d'accommoder les
restes, suivit un
GRATINE de thon et un
ROULE dans la farine, puis un
COCO VINT nous servir ses
SALADES et fait un
FROMAGE sur la politique de la majorité
actuelle. Cerise sur le
GÂTEAU son programme n'était pas plus
consistant que celui de ses adversaires. On ne sait pas ce
QU'A FAIT cet orateur ni s'il
DEVINT, rouge ou blanc ou s'il a
abandonné en cours de
C(H)AMPAGNE.
PENSEES DU JOUR
Je suis bon public, même si mes
galéjades ne font sourire que moi, ça en fait au moins un.
vendredi 1 mars 2013
C'est pour rire !
Je ne suis pas motivé pour inventer des galéjades, alors je vais vous raconter une ancienne histoire, qui peut être toujours d'actualité.
"Bonjour docteur, je viens vous voir parce que je souffre du testicule gauche.
- Vous avez du mal lire ma plaque, je suis Docteur en Droit.
- Macarel, je ne pensais pas que vous étiez spécialisé à ce point là!"
Message à un lecteur qui se reconnaîtra :
"Dépêche-toi de venir, la maison de tes rêves se délabre, on avait pourtant changé la serrure!"
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