jeudi 27 novembre 2014
mardi 25 novembre 2014
vendredi 21 novembre 2014
mercredi 19 novembre 2014
Ca y est !
Enfin, presque
Le nouvel établissement thermal sera terminé dans les délais, avec seulement deux semaines de retard ce qui ne me semble pas énorme au vu des difficultés rencontrées.
Profitant du soleil, je vous présente la façade côté étang de Thau.
J'espère que les grosses verrues que sont les transformateurs recevront au minimum une nouvelle couche de peinture, au mieux disparaîtront.
Les essais devraient commencer très bientôt, pour les derniers curistes de l'année.
Le nouvel établissement thermal sera terminé dans les délais, avec seulement deux semaines de retard ce qui ne me semble pas énorme au vu des difficultés rencontrées.
Profitant du soleil, je vous présente la façade côté étang de Thau.
J'espère que les grosses verrues que sont les transformateurs recevront au minimum une nouvelle couche de peinture, au mieux disparaîtront.
Les essais devraient commencer très bientôt, pour les derniers curistes de l'année.
mardi 11 novembre 2014
Les poilus
C'est la fleur au fusil qu'ils laissèrent leurs champs
Par un beau jour d'été, ils partirent à vingt ans
Reprendre les provinces perdues depuis quarante-quatre ans
Venger en quelques jours la pâtée de Sedan.
Une grande bataille avant de s'installer
Dans une drôle de guerre que celle des tranchées
Dans la boue et le froid et sous les ondées
Surveiller l'ennemi comme lui retranché.
A cause des généraux pétris dans leur orgueil
Chaque village et famille devait porter le deuil
Des enfants de la France qui étaient tombés
Sous la grenaille, les balles, les obus des mortiers.
Verdun, la Marne ou le chemin des Dames
Chaque combat devait faire des drames
Et si longtemps après la victoire fut au bout
On n'a jamais pu humainement en supporter le coût
Ce devait être la der, du moins on l'avait cru
Et ceux qui par chance en sont revenus
Dans leurs villages qu'ils n'ont pas reconnu
Ont juré qu'on les y reprendraient plus
Des deux côtés du Rhin on a reconstruit
Ce que la folie des hommes avait totalement détruit
Dix millions de victimes environ ont péri
Pour défendre ce qui n'était pas toujours leur patrie
On fête la Victoire en ce onze novembre
Autour des monuments aux morts de ces tueries
L'union s'est faite et on est heureux d'entendre
Que désormais l'Allemand s'est changé en ami.
Par un beau jour d'été, ils partirent à vingt ans
Reprendre les provinces perdues depuis quarante-quatre ans
Venger en quelques jours la pâtée de Sedan.
Une grande bataille avant de s'installer
Dans une drôle de guerre que celle des tranchées
Dans la boue et le froid et sous les ondées
Surveiller l'ennemi comme lui retranché.
A cause des généraux pétris dans leur orgueil
Chaque village et famille devait porter le deuil
Des enfants de la France qui étaient tombés
Sous la grenaille, les balles, les obus des mortiers.
Verdun, la Marne ou le chemin des Dames
Chaque combat devait faire des drames
Et si longtemps après la victoire fut au bout
On n'a jamais pu humainement en supporter le coût
Ce devait être la der, du moins on l'avait cru
Et ceux qui par chance en sont revenus
Dans leurs villages qu'ils n'ont pas reconnu
Ont juré qu'on les y reprendraient plus
Des deux côtés du Rhin on a reconstruit
Ce que la folie des hommes avait totalement détruit
Dix millions de victimes environ ont péri
Pour défendre ce qui n'était pas toujours leur patrie
On fête la Victoire en ce onze novembre
Autour des monuments aux morts de ces tueries
L'union s'est faite et on est heureux d'entendre
Que désormais l'Allemand s'est changé en ami.
mardi 4 novembre 2014
Novembre
Le
vent souffle en tempête
Des
éclairs zèbrent le ciel
Ne
serais-je pas mieux sous ma couette
Qu'à
défier les éléments naturels ?
Toute
la nuit il a hurlé
Sous
les tuiles et dans la cheminée
Au
matin tôt je me suis levé
L'étang
de Thau est déchaîné
J'ai
voulu photographier
D'Eole
en furie les effets
La
pluie ne m'a pas empêché
De
sortir avec mon ciré
J'ai
couru jusqu'à la jetée
Voir
ces bateaux mal arrimés
A
la côte naufragés
Pauvres
épaves bientôt disloquées
Dans
le port mal éclairé
Pauvre fantôme enchaîné
Un
canot est retourné, les coques secouées
Par
les vagues sont submergées
Dans
les haubans siffle le vent
Dans
un vacarme assourdissant
Sur
les ondes passe l'ouragan
Et
sur nous passe le temps.
PS : Et pour ceux qui seraient inquiets
Je peux déjà vous rassurer
Dès que le jour s'est levé
Ce sacré (ou satané) vent est tombé.
samedi 1 novembre 2014
Automne
Petit résumé d'un mois d'octobre exceptionnellement chaud et ensoleillé :
a) promenades dans la nature
b) foire agricole
c) après-midi à la plage
Et vous voudriez que je trouve le temps d'écrire ?
a) promenades dans la nature
b) foire agricole
Et vous voudriez que je trouve le temps d'écrire ?
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