Quelques images du massif de la Gardiole où les fleurs de garrigue s'épanouissent, normal, c'est de saison !
L'asphodèle lance sa fleur vers les nuages, les discrets iris sauvages offrent leurs couleurs jaunes et violettes, plus loin la cyste et le thym font des touches roses et mauves, la jacinthe se dresse dans son écrin de feuilles vertes.
Les genets et églantiers en fleurs jaunes et blanches exhalent leur parfum odorant et sucré mais je ne peux vous le montrer.
Assez de poésie, passons à la photographie !
lundi 20 mars 2017
dimanche 19 mars 2017
lundi 13 mars 2017
Neige, en noir et blanc
Toujours mes tripatouillages de photos, une image déjà présentée en couleur (si le blanc en est une)
samedi 4 mars 2017
Tempête de printemps
Cinq heures du matin, trop de bruit, je me lève
La maison a craqué durant toute la nuit
Le vent d'occident à soufflé sa colère
Sur la mare aux canards et notre Occitanie
Dans la rue, sur les murs, toute l'eau ruisselle
Les bourrasques de vent viennent frapper mon huis
Grésil et eau mêlés aux rafales se mêlent
Mars est là et apporte sa pluie
Me voici tout mouillé j'ai suivi un nuage
Pour aller sur le port voir les bateaux tanguer
Couché par la tempête un voilier prend le large
Poussé à la côte finit par s'échouer
Ce ne sont pas les quarantièmes rugissants
C'est fini, ce n'était qu'une saute de vent
La colère du temps sur l'étang de Thau
Ce matin de printemps m'a fait me lever tôt.
Que Brassens et Hugo où qu'ils soient me pardonnent
Moi le faux poète qui n'est qu'un plumitif
Quand le vent se déchaîne je me lève et crayonne
Tente en quelques vers d'être créatif, pas rébarbatif.
La maison a craqué durant toute la nuit
Le vent d'occident à soufflé sa colère
Sur la mare aux canards et notre Occitanie
Dans la rue, sur les murs, toute l'eau ruisselle
Les bourrasques de vent viennent frapper mon huis
Grésil et eau mêlés aux rafales se mêlent
Mars est là et apporte sa pluie
Me voici tout mouillé j'ai suivi un nuage
Pour aller sur le port voir les bateaux tanguer
Couché par la tempête un voilier prend le large
Poussé à la côte finit par s'échouer
Ce ne sont pas les quarantièmes rugissants
C'est fini, ce n'était qu'une saute de vent
La colère du temps sur l'étang de Thau
Ce matin de printemps m'a fait me lever tôt.
Que Brassens et Hugo où qu'ils soient me pardonnent
Moi le faux poète qui n'est qu'un plumitif
Quand le vent se déchaîne je me lève et crayonne
Tente en quelques vers d'être créatif, pas rébarbatif.
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