dimanche 29 mai 2011

Histoire d'eau !

Suite à une rupture de canalisation, le réseau d'eau potable de la ville de Balaruc les Bains est momentanément défaillant. Nous avons été avertis vendredi soir par sirène et hauts-parleurs et invités par la police municipale à ne pas consommer l'eau du robinet.
C'est un comble pour une ville thermale d'être privée d'eau.
L'eau de l'étang aussi subit le réchauffement général. Les canards et les poissons s'ébattent dans une eau verdâtre, au milieu des algues.
Et avec la sécheresse qui s'installe un peu partout, on peut se demander où cela va s'arrêter !
Pour preuve, je vous livre une photo prise hier en bordure de l'étang.

Je vous rassure, on ne risque pas de mourir de soif tout de suite, il y a d'autres productions locales en réserve.

mercredi 25 mai 2011

Rencontre aquatique

Sur le canal du Midi, la semaine dernière, deux bateaux naviguaient,


et je me promenais au frais.
Je sais, la deuxième photo fait un peu carte postale mais elle me plait ! 

lundi 16 mai 2011

Un petit tour avant l'orage

     Le temps orageux de la semaine dernière m'a incité à sortir pour faire des photos du ciel.



Et quelquefois, l'orage qui menaçait est parti ailleurs. 


     Au détour des chemins, la nature nous offre des sujets à photographier.

 


     Le retour "en ville" permet de montrer la pollution visuelle (M. le maire, si vous me lisez ...)

mardi 10 mai 2011

Randonnée dans le Caroux

Dimanche, randonnée sur le mont Caroux, dans le massif de l'Espinouse, au Nord-Ouest du département de l'Hérault. Une randonnée que je voulais faire depuis longtemps et dont j'avais lu l'itinéraire et la description sur une revue en ...1982 (j'ai encore l'article dans mes archives, imprimé sur du papier glacé avec des photos en noir et blanc et les itinéraires tracés à la main, on ne pensais pas encore au GPS). 
Départ de Mons la Trivalle dans la grisaille, sous quelques gouttes de crachin. Les sommets (1100 m maxi) sont dans les nuages mais comme dit le dicton jacquaire : pluie du matin n'arrête pas le pélerin.
Nous franchissons le "pont des Soupirs" sur l'Héric et attaquons une franche montée sur des sentiers bien entretenus par les employés forestiers. Après quelques minutes une première pose est nécessaire pour s'alléger en vêtements. 
Plus nous nous élevons plus le temps se dégage.
A notre arrivée au point culminant de notre sortie, marqué par une table d'orientation, le soleil est là mais l'horizon reste voilé.
 
Sous nos pieds le vert de l'Orb se mélange à ceux des hêtres et des charmes. Tout au long de la montée, nous avons eu une palette de couleurs, jaune des genêts, vert tendre des fougères qui déroulent leurs feuilles, plus sombre des pins et des chênes, rose des lavandes-papillon, mauve des pensées et violettes, gris des pierres du chemin.
 *
 Une pause déjeuner sur une terrasse ensoleillée et abritée du vent permet de récupérer des forces avant d'attaquer la descente, lente en raison des poses de notre photo-entomologiste qui a rencontré bousier et autres scarabée à parure rayée, traînant un lombric que lui disputait une fourmi, sur le hameau de Douch, typiquement cévenol, de remonter sur celui d'Héric comportant trois maisons dont une buvette et de descendre les gorges de la rivière du même nom sur un chemin bitumé et ombragé.
 *

 
Une dernière halte à la cascade près du gouffre du Cerisier pour tester la température de l'eau et retour au parking. Cinq heures de marche pour une balade qui en aura duré huit, on peu dire qu'on a pris notre temps.
  *

* Crédit photo : Alain "Gardelecap"

vendredi 6 mai 2011

Le temps ne fait rien à l'affaire

     A Sète comme à Paris, trente ans après sa mort, on commémore les quatre-vingt-dix ans de la naissance de Georges Brassens. N'ayant pas encore réussi l'acrostiche-hommage que je voulais composer, à cause du beau temps qui me retient loin de ma table de travail, je publie à nouveau celui écrit il y a deux ou trois ans.


Le grand Georges nous l'avait chanté
Et d'autres, longtemps, l'ont répété
Toujours avec de la fermeté.

 Ecrire un jour, pour s'amuser
 Musique des mots sur un carnet
 Pour bien assener des vérités
 Sans autre idée que provoquer
 Nos réflexions et vos quolibets.
 En d'autre temps, pour d'autre raisons,
 Ferrat a bien chanté Aragon.
 Aussi tous mes vers de Mirliton
 Imaginés derrièr' mon grand front
 Tendent, à l'auteur du Vieux Léon
 Rien qu'une plume ou un crayon.
 Il va me donner l'inspiration
 Et je complèterai sa chanson
 Non que je la trouve réservée
 Aux élites et aux très lettrés.
 Les textes écrits pour rigoler
 Acrostiche, quatrain ou sonnet
 Foutaises, farce, billevesées
 Font revenir la réflexion
 Aux blanc-bec,aux jeunots, aux grisons.
 Il me faut trouver la solution !
 Rien n'y fait ? Plus de rime en on ?
 Et oui, quand on nait con, on est con !

mercredi 4 mai 2011

Errance à Montpellier

Deux heures de promenade, du jardin du Peyrou à celui du Corum, entre 11 et 13 heures m'ont permis de fixer quelques instants, de croiser des gens qui ne m'ont pas vu et de découvrir dans la même rue deux situations inhabituelles. En voici quelques unes, par ordre d'apparition dans mon viseur : l'étranger et son banjo, l'inconnue et ses chiens sur la pelouse interdite, les touristes près de la cathédrale, le couple revenant du marché, la pause du déjeuner, les chaussures abandonnées et le téléphone pendu. 















Et comme à Montpellier on n'est pas rancunier, on ne débaptise pas les rues lorsqu'on perd une finale de football (photo pas garantie sans trucage).













lundi 2 mai 2011

On poursuit les essais !

En fin de semaine dernière, j'ai fait de nouveaux essais de photos en noir et blanc, nature et composition. 
 Port au lever du soleil
 Concerto
 Vis moderne sur serrure ancienne, dommage !
 L'homme qui marche dans la roue
 Charly pensif ou penseur
Ma Ninette (c'est son nom, pas ma propriété)