Deux heures de promenade, du jardin du Peyrou à celui du Corum, entre 11 et 13 heures m'ont permis de fixer quelques instants, de croiser des gens qui ne m'ont pas vu et de découvrir dans la même rue deux situations inhabituelles. En voici quelques unes, par ordre d'apparition dans mon viseur : l'étranger et son banjo, l'inconnue et ses chiens sur la pelouse interdite, les touristes près de la cathédrale, le couple revenant du marché, la pause du déjeuner, les chaussures abandonnées et le téléphone pendu.
Et comme à Montpellier on n'est pas rancunier, on ne débaptise pas les rues lorsqu'on perd une finale de football (photo pas garantie sans trucage).
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