Pour finir l'année, une image captée hier.
Bonnes fêtes à tous et à bientôt.
vendredi 29 décembre 2017
mercredi 27 décembre 2017
Lendemain de fête
"Ma brosse à dent ne rase pas, car le dentifrice ne mousse pas, dans la tête des marteaux-piqueurs, jouent la mélodie du bonheur " *
* Librement inspiré de " C'est la vie, mon chéri" Eddy Mitchell
* Librement inspiré de " C'est la vie, mon chéri" Eddy Mitchell
dimanche 24 décembre 2017
Il est certains esprits
Quelques vers de Nicolas Boileau appris en 1966-67 et toujours d'actualité !
Il
est certains esprits dont les sombres pensées
Sont d'un nuage épais toujours embarrassées ;
Le jour de la raison ne le saurait percer.
Avant donc que d'écrire, apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Surtout qu'en vos écrits la langue révérée
Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
En vain, vous me frappez d'un son mélodieux,
Si le terme est impropre ou le tour vicieux :
Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme,
Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme.
Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin
Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
Et ne vous piquez point d'une folle vitesse :
Un style si rapide, et qui court en rimant,
Marque moins trop d'esprit que peu de jugement.
J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène,
Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux,
Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
Sont d'un nuage épais toujours embarrassées ;
Le jour de la raison ne le saurait percer.
Avant donc que d'écrire, apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Surtout qu'en vos écrits la langue révérée
Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
En vain, vous me frappez d'un son mélodieux,
Si le terme est impropre ou le tour vicieux :
Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme,
Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme.
Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin
Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
Et ne vous piquez point d'une folle vitesse :
Un style si rapide, et qui court en rimant,
Marque moins trop d'esprit que peu de jugement.
J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène,
Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux,
Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
jeudi 21 décembre 2017
vendredi 15 décembre 2017
dimanche 10 décembre 2017
samedi 2 décembre 2017
mardi 21 novembre 2017
Où va le monde ?
Cela m'énerve ! Ceux-là m'énervent ! Quoi ? Mais de qui parle t'il ?
Je parle des intolérants qui, au nom de leurs convictions, veulent nous dicter notre conduite.
Entendus à midi aux informations régionales, ces deux exemples devraient nous mettre en garde contre une dérive qui tend à réduire nos libertés, encore une fois me direz-vous, oui, peut-être !
Aveyron : une pièce de théâtre déprogrammée à la demande de parents d'élèves de collèges catholiques. Sujet l'égalité hommes-femmes. Moyens évoqués : "Quelques jours avant le spectacle, une critique du site Riposte catholique, proche de la droite conservatrice ultra-catholique, a mis le feu aux poudres. Sous le titre "le lobby LGBT fait son entrée dans l'enseignement catholique de l'Aveyron", il publie une affiche du spectacle accompagnée du festival des fiertés "Pride Toulouse" organisé en juin dernier." *
Bien entendu, les auteurs n'ont pas vu la pièce mais font circuler de fausses informations pour apeurer les parents d'élèves.
Mentez, calomniez, il en restera toujours quelque chose (attribué à tort à Beaumarchais et Voltaire)
Alès : un militant anti-corrida fait retirer de la vente les panoplies de déguisement de torero sous prétexte que " le monde tauromachique agit en direction des enfants, tente de récupérer des jeunes comme public futur"** et argument suprême y voit une incitation à la violence.
Et pourquoi ne pas retirer également sous le même prétexte les panoplies de cow-boys, guerriers de toutes les galaxies, flics, etc.
Bon pour moi c'est sur, je n'irai plus dans cette chaîne de magasins et je les invite à rajouter à leurs slogans publicitaires : "on trouve de tout, sauf des panoplies de torero".
Ma grand-mère, qui avait du bon sens dont celui de la mesure disait : "si tu n'aimes pas ça n'en dégoûtes pas les autres".
Je laisse à votre réflexion cette citation d'un grand manipulateur :
* citation de la Dépêche du Midi
** citation FR3 Occitanie-Alès
*** Citation de Charles Maurice, prince de Talleyrand-Périgord ~
Je parle des intolérants qui, au nom de leurs convictions, veulent nous dicter notre conduite.
Entendus à midi aux informations régionales, ces deux exemples devraient nous mettre en garde contre une dérive qui tend à réduire nos libertés, encore une fois me direz-vous, oui, peut-être !
Aveyron : une pièce de théâtre déprogrammée à la demande de parents d'élèves de collèges catholiques. Sujet l'égalité hommes-femmes. Moyens évoqués : "Quelques jours avant le spectacle, une critique du site Riposte catholique, proche de la droite conservatrice ultra-catholique, a mis le feu aux poudres. Sous le titre "le lobby LGBT fait son entrée dans l'enseignement catholique de l'Aveyron", il publie une affiche du spectacle accompagnée du festival des fiertés "Pride Toulouse" organisé en juin dernier." *
Bien entendu, les auteurs n'ont pas vu la pièce mais font circuler de fausses informations pour apeurer les parents d'élèves.
Mentez, calomniez, il en restera toujours quelque chose (attribué à tort à Beaumarchais et Voltaire)
Alès : un militant anti-corrida fait retirer de la vente les panoplies de déguisement de torero sous prétexte que " le monde tauromachique agit en direction des enfants, tente de récupérer des jeunes comme public futur"** et argument suprême y voit une incitation à la violence.
Et pourquoi ne pas retirer également sous le même prétexte les panoplies de cow-boys, guerriers de toutes les galaxies, flics, etc.
Bon pour moi c'est sur, je n'irai plus dans cette chaîne de magasins et je les invite à rajouter à leurs slogans publicitaires : "on trouve de tout, sauf des panoplies de torero".
Ma grand-mère, qui avait du bon sens dont celui de la mesure disait : "si tu n'aimes pas ça n'en dégoûtes pas les autres".
Je laisse à votre réflexion cette citation d'un grand manipulateur :
** citation FR3 Occitanie-Alès
*** Citation de Charles Maurice, prince de Talleyrand-Périgord ~
samedi 18 novembre 2017
mercredi 15 novembre 2017
Hop, dans la boîte !
Depuis qu'il était en travaux, on se demandait quand il serait terminé (un an pour décorer un rond-point, c'est pas mal) et j'attendais enfin la bonne lumière pour immortaliser "la chose".
Ce matin il y avait du soleil et pas de vent, conditions idéales.
Moi, j'aime bien la photo en noir et blanc mais ma générosité vous offre (pour le même prix) la version couleur. ;)
PS : la flèche en bois est celle qui ornait les anciens thermes Athéna, démolis en 2015
Ce matin il y avait du soleil et pas de vent, conditions idéales.
Moi, j'aime bien la photo en noir et blanc mais ma générosité vous offre (pour le même prix) la version couleur. ;)
PS : la flèche en bois est celle qui ornait les anciens thermes Athéna, démolis en 2015
lundi 6 novembre 2017
Insomnie
Et je suis là, étendu dans le noir
Dans un état qui n'est pas encore réveil
Et me reviennent les pensées d'hier soir
Lorsque éperdument je cherchais le sommeil
J'ai posé le bouquin sur lequel je dormais
Et le cerveau s'est remis à tourner
Tel un disque sur la platine oublié
Allant du récent aux souvenirs repassés
Je me lève, enfile mes godases et un pull-over
Cinq heures du matin, un homme marche dans la rue
Cet homme c'est moin qui rêve mais ne dors plus
"Où suis-je, où vais-je, dîtes-moi dans quel état j'erre" *
Marcheur, promeneur, randonneur
Chaque jour à toute heur'
Je trouve mon bonheur
Ici ou bien ailleurs.
Un oiseau, une fleur,
Vus, grâce à ma lenteur
Riment dans mon coeur
Avec baladin, baladeur.
Il me vient des mots
Qui courent au bout de mon stylo
Ils ne valent pas une thune
Je n'ai pas appris à décrire la lune
Le soleil va se lever
Le ciel de bleu s'est paré
La journée va bientôt commencer, il est temps de rentrer
Je suis délivré de mes pensées.
* emprunt volontaire au répertoire de Roger Pierre (1923-2010)
Dans un état qui n'est pas encore réveil
Et me reviennent les pensées d'hier soir
Lorsque éperdument je cherchais le sommeil
J'ai posé le bouquin sur lequel je dormais
Et le cerveau s'est remis à tourner
Tel un disque sur la platine oublié
Allant du récent aux souvenirs repassés
Je me lève, enfile mes godases et un pull-over
Cinq heures du matin, un homme marche dans la rue
Cet homme c'est moin qui rêve mais ne dors plus
"Où suis-je, où vais-je, dîtes-moi dans quel état j'erre" *
Marcheur, promeneur, randonneur
Chaque jour à toute heur'
Je trouve mon bonheur
Ici ou bien ailleurs.
Un oiseau, une fleur,
Vus, grâce à ma lenteur
Riment dans mon coeur
Avec baladin, baladeur.
Il me vient des mots
Qui courent au bout de mon stylo
Ils ne valent pas une thune
Je n'ai pas appris à décrire la lune
Le soleil va se lever
Le ciel de bleu s'est paré
La journée va bientôt commencer, il est temps de rentrer
Je suis délivré de mes pensées.
* emprunt volontaire au répertoire de Roger Pierre (1923-2010)
vendredi 3 novembre 2017
Portrait d'Halloween
Les festivités importées, on en pense ce que l'on veut. J'ai trouvé l'occasion rêvée pour m'exercer au portrait de rue, les gens sont là pour s'amuser et grimés ils sont plus détendus et prennent la pose facilement.
mardi 17 octobre 2017
CORSE 2017 - Panoramiques
2 à 5 images assemblées
Plage du port - Galéria
Pâturages (où ce qu'il en reste) à Piétralba
Plaine de Murato un jour sans soleil
Plage du port - Galéria
Pâturages (où ce qu'il en reste) à Piétralba
Plaine de Murato un jour sans soleil
dimanche 15 octobre 2017
CORSE 2017 - Auto-moto-bateaux
Peugeot 204 - année 1968 - 3 jours de voyage des Pays-Bas à Toulon
Victory 106 - 1790 cc - une rareté et une belle mécanique
Les jumeaux -
Victory 106 - 1790 cc - une rareté et une belle mécanique
Les jumeaux -
vendredi 13 octobre 2017
CORSE 2017 - LE BESTIAIRE
Milan royal - Ca plane pour lui
Corneilles mantelées
Bouc solitaire
Les trois petits cochons
Le temps des vaches maigres - Elle aussi, marche comme un mannequin anorexique.
Corneilles mantelées
Bouc solitaire
Les trois petits cochons
Le temps des vaches maigres - Elle aussi, marche comme un mannequin anorexique.
jeudi 14 septembre 2017
L'arbre mobile
C'est un jardin, extraordinaire ... comme le chantait le grand Charles (pas celui-là, celui de Narbonne)
mardi 12 septembre 2017
2640
C'est le nombre de vues, pour l'instant, de cette image distinguée par mon hébergeur et mise 133 fois en favori par les lecteurs.
C'est la première fois que cela m'arrive et ça m'enchante pour un premier montage.
Deux photos prises sur l'étang de Thau, cela valait le coup de passer trois heures devant l'écran pour peaufiner les détails.
C'est la première fois que cela m'arrive et ça m'enchante pour un premier montage.
Deux photos prises sur l'étang de Thau, cela valait le coup de passer trois heures devant l'écran pour peaufiner les détails.
dimanche 10 septembre 2017
DUEL DE SANS PAREIL
Vous écoutez quoi en ce moment ?
Moi c'est les Toulousains !
https://www.youtube.com/watch?v=2tjx82pp2Yo
Moi c'est les Toulousains !
https://www.youtube.com/watch?v=2tjx82pp2Yo
vendredi 8 septembre 2017
mardi 5 septembre 2017
Humour noir ?
A qui s'adresse ce message, aux nouveaux arrivants ou à ceux qui les accompagnent et qui en est l'auteur ? Mystère !
Ah, j'oubliais de vous dire : plaque découverte à l'entrée d'un cimetière !
samedi 2 septembre 2017
Le retour
Samedi 2 septembre 10 heures venant du Sud et se dirigeant vers le Nord-Est, par dessus les toits je n'ai pas vu, comme Michel Delpech, passer des oies sauvages mais un vol de cigognes.
jeudi 31 août 2017
La danseuse du ponton
Cinq heures du mat', mon horloge interne m'indique que j'ai assez dormi et qu'il est temps de me lever.
Debout sur ma terrasse, je savoure mon premier café en écoutant un grillon chanter. La nuit est chaude, il fait encore 25 degrés. Les lumières de la ville endormie scintillent au loin, le ciel est gris et chargé de nuages, il n'y a pas un souffle de vent.
L'envie me prend d'aller marcher au bord de l'étang. Je met un harmonica dans ma poche "au cas où" viendrait l'envie de jouer un air qui me passerait par la tête et de délivrer à la nuit des notes de musique, chant de marin ou d'opéra, allez savoir...
Près de l'eau je regarde la lune voilée par moment par d'énormes nuages, pas de bruit si ce n'est au loin celui des éboueurs vidant les poubelles et la rare circulation automobile.
Je marche lentement sur la berge déserte en direction du port de plaisance. Sur la jetée, je remarque une lumière mouvante, comme lorsqu'on joue à faire des signaux avec une lampe de poche. Je m'approche et la personne que je prenais pour une enfant se révèle être une femme. Coiffée d'écouteurs et tenant un téléphone, elle déambule sur le ponton en levant de temps à autre son récepteur dont l'écran blanc est à l'origine de ma méprise.
Elle peut avoir vingt ou cinquante ans, je n'ai pas pu le définir, la nuit m'a empêché de distinguer ses traits lorsque nous nous sommes croisés, que je l'ai saluée et qu'elle ma sourit sans sembler me voir, la nuit étant encore trop noire.
J'ai fini le tour du ponton où se trouve déjà un pêcheur à la ligne et m'immobilise. La femme marche vers l'autre extrémité et, face à la direction du soleil levant, exécute quelques pas de dance, pirouettes et balancements de bras accompagnant ses pas-chassés.
Elle me semble être dans son monde, dans une danse solitaire où l'extérieur à disparu, indifférente au regard des autres. Sa musique ne dérange personne grâce aux écouteurs, le ponton est quasi-désert, le pêcheur ne la regarde pas et surveille ses lignes, seul un promeneur-rêveur observe cette scène en regrettant de ne pas avoir emporté son appareil photo pour fixer l'insolite.
Quelques gouttes de pluie annonciatrices d'une faible averse matinale nous font quitter les lieux, je l'ai suivie des yeux alors qu'elle se dirigeait vers le centre-ville, je suis parti dans la direction opposée.
Je ne saurais jamais quelles étaient les motivations de cette personne mais quelles qu'elles soient, entretien physique, amour de la danse, création d'un chorégraphie ou que sais-je, j'ai bien aimé sa prestation nocturne, expression de sa liberté et du mépris du qu'en dira-t'on et cela me réjouit d'imaginer qu'il reste encore des gens qui font ce qu'ils ont envie.
Debout sur ma terrasse, je savoure mon premier café en écoutant un grillon chanter. La nuit est chaude, il fait encore 25 degrés. Les lumières de la ville endormie scintillent au loin, le ciel est gris et chargé de nuages, il n'y a pas un souffle de vent.
L'envie me prend d'aller marcher au bord de l'étang. Je met un harmonica dans ma poche "au cas où" viendrait l'envie de jouer un air qui me passerait par la tête et de délivrer à la nuit des notes de musique, chant de marin ou d'opéra, allez savoir...
Près de l'eau je regarde la lune voilée par moment par d'énormes nuages, pas de bruit si ce n'est au loin celui des éboueurs vidant les poubelles et la rare circulation automobile.
Je marche lentement sur la berge déserte en direction du port de plaisance. Sur la jetée, je remarque une lumière mouvante, comme lorsqu'on joue à faire des signaux avec une lampe de poche. Je m'approche et la personne que je prenais pour une enfant se révèle être une femme. Coiffée d'écouteurs et tenant un téléphone, elle déambule sur le ponton en levant de temps à autre son récepteur dont l'écran blanc est à l'origine de ma méprise.
Elle peut avoir vingt ou cinquante ans, je n'ai pas pu le définir, la nuit m'a empêché de distinguer ses traits lorsque nous nous sommes croisés, que je l'ai saluée et qu'elle ma sourit sans sembler me voir, la nuit étant encore trop noire.
J'ai fini le tour du ponton où se trouve déjà un pêcheur à la ligne et m'immobilise. La femme marche vers l'autre extrémité et, face à la direction du soleil levant, exécute quelques pas de dance, pirouettes et balancements de bras accompagnant ses pas-chassés.
Elle me semble être dans son monde, dans une danse solitaire où l'extérieur à disparu, indifférente au regard des autres. Sa musique ne dérange personne grâce aux écouteurs, le ponton est quasi-désert, le pêcheur ne la regarde pas et surveille ses lignes, seul un promeneur-rêveur observe cette scène en regrettant de ne pas avoir emporté son appareil photo pour fixer l'insolite.
Quelques gouttes de pluie annonciatrices d'une faible averse matinale nous font quitter les lieux, je l'ai suivie des yeux alors qu'elle se dirigeait vers le centre-ville, je suis parti dans la direction opposée.
Je ne saurais jamais quelles étaient les motivations de cette personne mais quelles qu'elles soient, entretien physique, amour de la danse, création d'un chorégraphie ou que sais-je, j'ai bien aimé sa prestation nocturne, expression de sa liberté et du mépris du qu'en dira-t'on et cela me réjouit d'imaginer qu'il reste encore des gens qui font ce qu'ils ont envie.
jeudi 24 août 2017
lundi 21 août 2017
Expo photo : Sur les bancs
Thermes d'Argelès-Gazost - Exposition de Guy Lacombe (jusqu'au 31 août 2017)
Le visiteur
Le défilé du 4 juillet 1977
Le poupon
lundi 10 juillet 2017
Le dernier cerveau disponible
Je viens de terminer la lecture de cet excellent roman et ne peux que vous le recommander, je vous en ferais bien cadeau mais je l'ai emprunté à la bibliothèque municipale, je sais qu'on le trouve autour de 18 "reuros" chez Leclerc Culture.
Un roman écrit dans un style très moderne, des phrases courtes et percutantes, quelques énumérations une peu longues à mon goût mais qu'importe, une intrigue bien ficelée et une vision de notre société comme je les aime. "Un regard avisé et généreux sur le monde" comme l'annonce la quatrième de couverture.
Je ne résiste pas à cette citation qui résume hélas notre société qu'on dit communicante et où, une de mes lectrices verra mon clin d'oeil :
"Ceux qui éprouvent des difficultés à communiquer s'arrangent toujours pour que leurs humeurs parlent pour eux. des sous-entendus, des non-dits qu'ils finissent par croire devenus pensées communes"
Le dernier cerveau disponible
Alexandre FERAGA
Flammarion 2017
Un roman écrit dans un style très moderne, des phrases courtes et percutantes, quelques énumérations une peu longues à mon goût mais qu'importe, une intrigue bien ficelée et une vision de notre société comme je les aime. "Un regard avisé et généreux sur le monde" comme l'annonce la quatrième de couverture.
Je ne résiste pas à cette citation qui résume hélas notre société qu'on dit communicante et où, une de mes lectrices verra mon clin d'oeil :
"Ceux qui éprouvent des difficultés à communiquer s'arrangent toujours pour que leurs humeurs parlent pour eux. des sous-entendus, des non-dits qu'ils finissent par croire devenus pensées communes"
Le dernier cerveau disponible
Alexandre FERAGA
Flammarion 2017
dimanche 9 juillet 2017
L'ère du numérique
Une fille s’adresse à son père : « Papa, il faut que je dise que je suis amoureuse.
Avec Sébastien, nous nous sommes rencontrés sur Meetic, puis sommes devenus amis sur Facebook.
Nous avons eu des discussions sur WhatsApp et il m’a fait sa déclaration sur Skype.
Et maintenant, j’ai besoin de ta bénédiction."
Le père répond aussi sec : « Ma chérie, un conseil : mariez-vous sur Twitter, achetez vos enfants sur eBay,recevez les par Colissimo déclarez les sur Google et après quelques années,si tu es fatiguée de ton mari, mets-le sur le Bon Coin.... !!! »
mardi 4 juillet 2017
samedi 1 juillet 2017
samedi 17 juin 2017
Trotti à toutou
Premier exemplaire de ce modèle : la trottinette électrique munie d'un panier de transport pour York de luxe.
Notez que la conductrice a pensé à faire boire l'animal et le mouiller en ce début de canicule.
Notez que la conductrice a pensé à faire boire l'animal et le mouiller en ce début de canicule.
mardi 6 juin 2017
dimanche 4 juin 2017
Décapotables
Je vous laisse le choix entre le charme désuet de la petite française populaire démontable avec une seule clé et le chic de l'anglaise montée à la main.
Merci au "gentlemen driver" de la Morgan d'avoir arrêté son bolide pour me permettre de prendre la photo.
Voitures de rêves et comme aurait dit quelqu'un qui m'était cher : "J'aurais peut-être pu me la payer mais j'aurais du revendre les roues pour acheter de l'essence"
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