vendredi 29 avril 2016

Scènes de ménage

Moi, mon problème c'est que je ne comprend pas les femmes. Tenez, un exemple, la mienne pour Noël m'avait demandé quelque chose qui monte vite de 0 à 130. Vous me connaissez, j'ai pas hésité une minute, je lui ai payé sa balance.
Et bien, vous aurez du mal à me croire, mais elle m'a fait une de ces scènes ! Non, je ne comprendrai jamais les femmes.

- Ma femme s'est assise sur le sofa près de moi pendant que je zappais avec la télécommande. 
Elle m'a demandé : Qu'est-ce qu'il y a sur la télé ? 
J'ai répondu : De la poussière. 
C'est là que la dispute a commencé. 

- La tondeuse à gazon est tombée en panne, ma femme n'arrêtait pas de me demander de la réparer. 
Mais, j'avais toujours autre chose à faire : ma voiture, la pêche, les copains... 
Un jour, pour me culpabiliser, je l'ai trouvée assise sur la pelouse occupée à couper l'herbe avec des petits ciseaux de couture. 
J'ai alors pris une brosse à dents et je lui ai dit : Quand tu auras fini de couper la pelouse, tu pourras balayer l'entrée? 
C'est là que la dispute a commencé ... 

- Ma femme se regardait dans un miroir. Elle n'était pas très contente de ce qu'elle voyait. 
Elle me dit "Je me sens horrible ; j'ai l'air vieille, grosse et laide. J'ai vraiment besoin que tu me fasses un compliment sur ma personne !" 
Je lui ai répondu : "Ta vision est excellente !"
C'est là que la dispute a commencé ... 

- J'ai amené ma femme au restaurant. Je commande un steak saignant. 
Le serveur me dit : "Vous n'avez pas peur de la vache folle ?"
"Non, elle est capable de commander elle-même !"
C'est là que la dispute a commencé ... 

- Ma femme et moi étions à une réunion d'anciens de son école. 
Il y avait un homme complètement saoul, buvant verre après verre. Je demande à ma femme "Tu le connais ?" 
"Oui", dit-elle en soupirant "Nous sommes sortis ensemble. Il a commencé à boire quand nous nous sommes séparés. Il n'a jamais cessé depuis" 
Je lui répondis "Qui aurait pu penser que l'on pouvait fêter ça si longtemps ? !"
C'est là que la dispute a commencé ... 

- En arrivant à la maison hier soir, ma femme me demande de la sortir dans un endroit cher. 
Je l'ai amenée à la station-service. 
C'est là que la dispute a commencé ... 

- Au supermarché, j'ai demandé à ma femme si nous pouvions prendre une caisse de bière à 25euros. 
Elle me dit non, et, sans me demander mon avis, elle se prit un pot de crème revitalisante pour la peau à 15euros. 
Je lui fis remarquer que la caisse de bière m'aiderait plus à la trouver belle que son pot de crème. 
C'est là que la dispute a commencé ... 

- L'autre jour, j'ai demandé à ma femme où elle désirait aller pour notre anniversaire. 
Elle me répond : Quelque part où ça fait longtemps que je ne suis pas allée » 
Je lui ai offert d'aller dans la cuisine. 
C'est là que la dispute a commencé ...

mercredi 27 avril 2016

La classe

Photographiée au Centre Régional d'Art Contemporain à Sète - Installation de Emma Dusong  "Suivre sa voix" - avril 2016


vendredi 15 avril 2016

Trouvé sur le net

Vous aimez sourire et réfléchir ? L'homme qui ne souriait jamais à la télé l'a fait pour vous !

Extraits choisis : suivez le lien pour un dictionnaire pas comme les autres, déjà vieux mais toujours d'actualité.

http://cvtechnicien.info.free.fr/desproges/dico.pdf

vendredi 1 avril 2016

Brassens revisité par Aron Choneur

Depuis quelque temps je n'écris guère. Trop d'occupations chronophages sans doute. 

J'ai tout de même le temps de chanter sous la douche, comme une majorité de personnes gaies.

Voici un petit pot-pourri de chansons de Georges Brassens, qui m'est venu récemment à l'esprit (c'est comme ça qu'on dit, même quand on en a peu). En fait cela à commencé lorsque j'ai oublié un couplet et que j'ai enchaîné sur une autre chanson, avant de retrouver les paroles.

A tête reposée, j'en ai rajouté. Essayez de le chanter, ce n'est pas si facile que cela parait.



Il est des jours où Cupidon s'en fout, il est des jours ou Cupidon s'en fout.
Il doit se dire : 
Parlez moi d'amour je vous mon poing sur la gueule, sauf le respect que je vous dois.

Je n'avais jamais ôté mon chapeau
Devant person...
Maintenant je rampe et je fait le beau
Quand ell’ me sonne.
J'étais chien méchant...ell’ me fait manger
Dans sa menotte.
J'avais des dents d’ loup… je les ai changées
Pour des quenottes !

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.

Un' jolie fleur dans une peau d'vache,
Un' jolie vach' déguisée en fleur,
Qui fait la belle et qui vous attache,
Puis, qui vous mèn' par le bout du cœur...
Ha, ha, ha ha putain de toi, Ha,ha, ha, ha pauvre de moi

J'étais dur à cuire elle m'a converti,
La fine mouche,
Et je suis tombé, tout chaud, tout rôti,
Contre sa bouche
Qui a des dents de lait quand elle sourit,
Quand elle chante,
Et des dents de loup quand elle est furi’,
Qu'elle est méchante.

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.


Auprès de mon arbre,
Je vivais heureux,
J'aurais jamais dû m'éloigner de mon arbre...
Auprès de mon arbre,
Je vivais heureux,
J'aurais jamais dû le quitter des yeux...


Je subis sa loi, je file tout doux
Sous son empire,
Bien qu'ell’ soit jalouse au-delà de tout,
Et même pire...
Une jolie pervenche qui m'avait paru
Plus joli’ qu'elle,
Un’ joli’ pervenche un jour en mourut
A coup d'ombrelle.

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.


J’ai l’honneur de 
Ne pas te demander 
ta main, 
Ne gravons pas 
Nos noms au bas 
D’un parchemin. 

Tous les somnambules, tous les mages m'ont
Dit, sans malice,
Qu'en ses bras en croix je subirais mon
Dernier supplice…
Il en est de pir’s, il en est de meilleurs,
Mais, à tout prendre,
Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs…
S'il faut se pendre.

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.


"Je ne sais pas si j'aimais cette dame, 
. . Mais je sais bien 
Que, pour avoir un regard de son âme, 
Moi, pauvre chien, 
J'aurais gaîment passé dix ans au bagne 
. . Sous les verrous... 
Le vent qui vient à travers la montagne 
. . M'a rendu fou." 


Il n'y a pas d'amour heureux. 


Mais il y a peu de chances qu'on, détrône le roi des cons.

Pour toutes réclamations, s'adresser à l'auteur, sa boîte à lettre se trouve près du siège du club "Les amis de Georges"