vendredi 1 avril 2016

Brassens revisité par Aron Choneur

Depuis quelque temps je n'écris guère. Trop d'occupations chronophages sans doute. 

J'ai tout de même le temps de chanter sous la douche, comme une majorité de personnes gaies.

Voici un petit pot-pourri de chansons de Georges Brassens, qui m'est venu récemment à l'esprit (c'est comme ça qu'on dit, même quand on en a peu). En fait cela à commencé lorsque j'ai oublié un couplet et que j'ai enchaîné sur une autre chanson, avant de retrouver les paroles.

A tête reposée, j'en ai rajouté. Essayez de le chanter, ce n'est pas si facile que cela parait.



Il est des jours où Cupidon s'en fout, il est des jours ou Cupidon s'en fout.
Il doit se dire : 
Parlez moi d'amour je vous mon poing sur la gueule, sauf le respect que je vous dois.

Je n'avais jamais ôté mon chapeau
Devant person...
Maintenant je rampe et je fait le beau
Quand ell’ me sonne.
J'étais chien méchant...ell’ me fait manger
Dans sa menotte.
J'avais des dents d’ loup… je les ai changées
Pour des quenottes !

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.

Un' jolie fleur dans une peau d'vache,
Un' jolie vach' déguisée en fleur,
Qui fait la belle et qui vous attache,
Puis, qui vous mèn' par le bout du cœur...
Ha, ha, ha ha putain de toi, Ha,ha, ha, ha pauvre de moi

J'étais dur à cuire elle m'a converti,
La fine mouche,
Et je suis tombé, tout chaud, tout rôti,
Contre sa bouche
Qui a des dents de lait quand elle sourit,
Quand elle chante,
Et des dents de loup quand elle est furi’,
Qu'elle est méchante.

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.


Auprès de mon arbre,
Je vivais heureux,
J'aurais jamais dû m'éloigner de mon arbre...
Auprès de mon arbre,
Je vivais heureux,
J'aurais jamais dû le quitter des yeux...


Je subis sa loi, je file tout doux
Sous son empire,
Bien qu'ell’ soit jalouse au-delà de tout,
Et même pire...
Une jolie pervenche qui m'avait paru
Plus joli’ qu'elle,
Un’ joli’ pervenche un jour en mourut
A coup d'ombrelle.

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.


J’ai l’honneur de 
Ne pas te demander 
ta main, 
Ne gravons pas 
Nos noms au bas 
D’un parchemin. 

Tous les somnambules, tous les mages m'ont
Dit, sans malice,
Qu'en ses bras en croix je subirais mon
Dernier supplice…
Il en est de pir’s, il en est de meilleurs,
Mais, à tout prendre,
Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs…
S'il faut se pendre.

Je me suis fait tout petit devant un’ poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la couche,
Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée
Qui fait « maman » quand on la touche.


"Je ne sais pas si j'aimais cette dame, 
. . Mais je sais bien 
Que, pour avoir un regard de son âme, 
Moi, pauvre chien, 
J'aurais gaîment passé dix ans au bagne 
. . Sous les verrous... 
Le vent qui vient à travers la montagne 
. . M'a rendu fou." 


Il n'y a pas d'amour heureux. 


Mais il y a peu de chances qu'on, détrône le roi des cons.

Pour toutes réclamations, s'adresser à l'auteur, sa boîte à lettre se trouve près du siège du club "Les amis de Georges"



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