mardi 13 novembre 2012

Dimanche 11 novembre, visite d'un marché artisanal aux pieds des Cévennes.

Il y avait entre autres, outre les métiers de bouche, deux exposants d'un village provençal et des reproductions de constructions locales, un forgeron travaillant le bronze, un couple de vanniers et une démonstration de chien de troupeaux. Ce berger possède cinq chiens qu'il fait obéir chacun dans une langue : français, espagnol, catalan, patois languedocien et allemand (allez savoir pourquoi). Il a fait manoeuvrer son troupeau de canards, réservant les moutons pour l'après-midi.

Lundi promenade à l'embouchure du fleuve Vidourle et rencontre avec un pêcheur et ses quatre cannes. Les éléments liquides en lutte pour la possession du territoire n'ont pas donné le résultat que j'espérait.

Des occasions de faire des photos dont voici un échantillon.














2 commentaires:

Olivier a dit…

le berger parle a chaque chien dans une langue différente pour pouvoir les commander indépendamment, il pourrait aussi donner le nom du chien avant chaque ordre, mais il a deux avantages: il évite les erreurs d'interprétation des chiens trop pressés d'attendre leur tour et gagne du temps pour les ordres "rapides" en évitant de rajouter Médor avant de le stopper par exemple... enfin je pense... moi je travaille juste avec les chiens de compagnie...

Aron Choneur a dit…

J'ai dit : "Commander 5 chiens en 5 langues, ça fait réviser et travailler le cerveau" un spectateur m'a répondu :"C'est comme jouer de la musique avec deux clés