A quelques centaines de mètres du supermarché, des routes et sentiers nous sont offertes. On ne rencontre personne ou presque, quelques rares promeneurs de chiens et des cyclistes montés on ne sait par où qui dévalent les monotraces.
Personne ne veut pas dire que l'endroit est désert. Partout, les abords du chemin ont été fouaillés par les bêtes noires venues glaner et manger des racines que je leur laisse volontiers.
Notre première rencontre a été celle de ce mini troupeau de chèvres naines, pas sauvages et nettoyant bien la bordure du chemin.
Le thym qui arrive à pousser dans la pierraille du chemin parfume l'air.
Au point culminant de notre balade, une belle vue sur l'étang de Thau nous attend. Le capteur de mon appareil photo ne vous montre pas les nuages menaçant à l'horizon, sur les sommets des Pyrénées Catalanes.
Quand je vous dis que notre région à un air de maquis Corse ! Pas étonnant que tant de gens qui ont écouté chanter Aznavour viennent s'installer chez nous en pensant que la misère serait moins pénible au soleil.
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